mardi 28 décembre 2021

Djerba la douce....

 Nul ne peut imaginer ce que va être dit, dans cet écrit, et lors de cet évènement, long, sur plusieurs années, quand une Autrichienne, intellectuelle et écrivaine, vint à plusieurs reprises, à Zarzis et Djerba, et accompagna à plusieurs reprises Boughmiga, dans ses sorties vers la mer et souvent vers le désert. Elle vient de lui 


envoyer un mail puis deux livres par la poste, qu'elle avait publié dernièrement. Dans "Djerba la douce", Boughmiga avait accompagné le conte réel, ainsi que le fond spirituel de "Rommel, Stille" soit Rommel, Silence". En plus de ces écrits, fruits de cette amitié fraternelle entre une nordique et homme du désert, Boughmiga avait aussi écrits quelques textes littéraires au sujet d'un assemblage étrange, entre deux personnes aux références humanistes écologiques, activistes d'un coté et littéraire, historiciste du médiéval de Malte, ecclésiastique...de l'autre, assis dans un café de Hara Sghira, et parlant de l'histoire universelle dans la langue de Goethe et de Nietzsche. Des extrêmes en mouvement, dans les esprits d'individus, mures et réfléchis sur la cause commune. 

dimanche 26 décembre 2021

La question...tardive.

 

               


  


Il a fallu attendre vingt ans, pour qu’une fillette de dix ans, la pose, la question, lors d’une pose, dans l’espace écologique mémoire de la mer et de l’homme. C’était un groupe d’enfants, amené par Si Anis Mtimet, de la région Sahbi et Oukheyatt, pour les remercier de leurs efforts de nettoyage la matinée dans la périphérie de ces régions. De son coté, Zineb et son groupe, leur avait rendu visite sur place, pour les supporter et participer à cette action civique. Il en était ainsi dans un climat de bénévolat et d’engagement, des enfants et des activistes. Sans prévenir, ils firent la visite dudit musée, cet après-midi, des filles et des garçons, d’âges différents et de motivation commune. Ils avaient posé énormément de questions à Boughmiga, au point de remarquer et dire, que cette énergie, n’avait pas été constaté auparavant parmi les visiteurs. Ils avaient tenu bon de prendre des ampoules géantes provenant de la mer, pour les entreposer dans leurs écoles. Trois d’entre elles avaient été donné à trois enfants de trois écoles différentes. Un très bon souvenir, un beau passage, mais la question que Boughmiga attendait depuis vingt ans, avait été posé par une petite fille dans savoir la dimension de son effet sur lui. Il se fait qu’au début du millénaire, la télévision nationale à travers son antenne de Tataouine, avait fait un reportage filmé sur l’action et le musée qu’il avait transmis lors du journal télévisé de sept heures du soir. Bien sûr, la plupart des citoyens Tunisiens l’avait vu et leur a plu énormément. L’année suivante, lors d’une pluie diluvienne, avec de la grêle, Boughmiga était surpris que personne ne s’était inquiété sur le sort des bouteilles en verres et les ampoules espérant recevoir un coup de fil à ce sujet. Mais voilà, l’inquiétude dura vingt ans, pour qu’aujourd’hui, ladite fille, demanda « qu’arrivera-t-il aux objets en verre quand il pleuve fort et surtout qu’il y a la grêle ». Voilà, Boughmiga lui affirma que les objets résistent, bien, aux intempéries, tout en souhaitant, que la résistance des esprits pour les causes écologiques et humaines, le soit bien moins.

vendredi 24 décembre 2021

Discussions, sur la migration à Zarzis.





 "Horga" un film documentaire avait été projeté dans l'amphithéâtre de la maison de culture de Zarzis, avec la participation active de les associations Tunibless, les médecins du monde et la coopération Allemande GIZ... avec la présence d'un bon nombre de jeunes et des activistes dans la société civile. Après la vision d'une partie du drame de la migration clandestine, le débats était vivant et plusieurs témoignages douloureux furent relatés. L'un des jeunes du film, était présent et son témoignage résume tout le drame. Il était parti vers l'Europe où il fut mis dans un cadre de formation en Allemagne, mais la conjoncture et les fréquentations l'avaient rapidement marginalisé de sa formation et sa carrière. Revenu au bled il recommença encore une fois la, qui  tentation à partir de la Turquie, qui ne réussi pas encore. Meurtris par le souvenir d'une nuit passée à la frontière Bosniaque, il ne veut plus de l'occident et décida de s'intégrer en Tunisie par touts les moyens. Dans ce sens, grâce à sa formation initiale en Allemagne, il constitua un dossier afin d'avoir une aide pour son projet agricole, mais quand il s'attendait à recevoir des fonds offerts à cet effet par un organisme Germanique, un membre de la comité régionale, refusa son dossier, du fait, qu'il appartient à un gouvernorat limitrophe et non de celle organise la distribution des aides financières aux projets. Une situation grave, qui explique en elle même les raisons de la migrations clandestine, qui se répètent dans la résolution même de ce drame. Un cas grave d'inconséquence et d'abus, lors de l'affectation des fonds offerts par les amis occidentaux. 

C'était grâce à ce documentaire, que les problèmes avaient été soulevé dans les discussions, vers une prise de conscience collective