samedi 25 janvier 2025

Etrange nostalgie ancestrale.

 


                    Un an et demi de l'incident, sans pouvoir l'oublier avant de le mettre par écrit et en contourner le mouvement étrange du "happenings" de la vie. En effet, c'était dans le cimetière commun de Béniftaiel Souihel, lors de l'enterrement d'un voisin de l'étranger paix à son âme. Comme à chaque fois, j'allais directement vers les tombes des parents, pour leur rendre tribut et lire le nécessaire du texte sacré. Chaque fois, je faisais attention, comme dans mon habitude, en prospectant la terre à la recherche des traces de l'homme primitif. Une fois, il m'est arriver de trouver du silex taillé dans la cour d'un musée militaire. Le terrain de notre dernière demeure, un don d'un grand bienfaiteur, Amor Dhouib, dans lequel un grand puits avait alimenté les chantiers touristiques de l'hôtel Zita à cinq cents mètres. Ce jour là, j'avais mangé des figues et ne me sentait pas à l'aise, contrarié par un comportement collectif irresponsable, qui avait consisté dans le fait d'avoir fait sortir le corps du défunt mort à l'étranger de son cercueil. En fixant le sol, j'ai trouvé un silex en plein milieu du cimetière, qui parait revenir au paléolithique inferieur. Trés heureux de ma trouvaille, je l'ai empoché et alla comme je l'ai dit, faire mon devoir de lecture. Mais en revenant au même endroit pour aller faire la queue et faire la poignée de main de condoléance, pendant que les autres faisaient leur prière collective du mort, je suis tombe de tout mon long, sans avoir eu le reflexe de protéger mes dents et ma tête, dans une sorte de syncope brutale. C'était peut-être le choc avec la terre, qui m'avait rendu les reflexes, la mémoire et senti des douleurs et picotements dans mes doigts et mes bras. C'était douloureux et fut emmener d'urgence à l'hôpital régional de Zarzis où je suis resté quatre jours dans le réa. Voilà, sans rien ajouter, la coïncidence de la coïncidence dans un lieu sacré et respectable. Trouver les traces de mes ancêtres et tomber ko comme un palmier dans le même endroit en y retournant de passage. En rigolant, je disais à chaque personne qui s'inquiétait de ma santé, pourquoi, ils n'avaient pas fait de joindre l'utile à l'agréable en me mettant sous terre aussi. Une retrouvaille trés heureuse, mais un peu cher... malgré qu'elle ne fait que se trouver dans le parcours de touts les jours. Une supra conscience de l'inconscience, peut-être. 

mercredi 22 janvier 2025

Participation.

 Ouvert depuis 1993 gratuitement, le musée mémoire de la mer et de l'homme, Zarzis, nécessite une extension de cinquante mètres carrés couverts, afin d'abriter certains objets de la mer, du patrimoine lithique et une bibliothéque culturelle. Un espace fort nécessaire pour valoriser, l'art, l'écologie, la culture et l'humanité de l'action. Pour participer, voici le numéro bancaire : STB RIB 10901 020 102880 4 78872 BIC STBKTNTT Lihidheb Mohsen 4170 Zarzis Tunisie.

mardi 7 janvier 2025

Sailing of migrants...

                   


Il a bien fallu que je change de configuration, dans l'espace de l'action mémoire de la mer, de l'homme et de l'animal Zarzis. Cette fois, ce son des migrants navigant sur une mer de chaussures, sur un bateau composé de sacs à main de femmes, sur lequel étaient assis plusieurs personnes, sous l'ombre du voile composé avec des gilets de sauvetage. L'interrogation est comment, les courant marin des chaussures de migrants tend vers le nord, pendant que le bateau vogue vers le sud, de la sagesse et de l'espérance.