vendredi 26 octobre 2018

Zarzis, et la Tunisie, défendent leurs valeurs.

Aujourd’hui à dix heures, des centaines de personnes ont manifesté leur soutien à Si Ahmed Fréa, harcelé arbitrairement par une bureaucratie parallèle aux instances judiciaires du pays, réputé pour la fragilité des ses démarches douteuses et la superficialité de sa conception de la justice transitionnelle. Avec lui, tout le sud, voir toute la république, le docteur Fréa jouit aussi d’une réputation supra nationale qu’il confirma par ses apports inestimables aux ministères de l’équipement et celui des télécommunications. Bien sur, les visages politiques de l’ancien régime, les avocats, les médecins, les ingénieurs, certaines figures de partis politiques, le bon peuple, avaient salué le drapeau national avec l’hymne du pays comme pour affirmer que c’est une cause nationale et irrévocable contre la médiocrité en vigueur, contre le mal traitement de nos intellectuels et contre les basses manigances politicardes. Malgré l’appartenance de certains présents, à des partis politiques, ce qui n’est pas un péché ni interdit tant les partis sont légaux, le soutien à cette grande personnalité, reste apolitique, total et jusqu’au bout. Naturellement, il avait plusieurs fois, souligné sa prédisposition à répondre aux requêtes judiciaires et assumer ses responsabilités de citoyen qui aurait fait des fautes, en attendant la reconfirmation certaine de son innocence. Sachant l’honnêteté de la personne, sa crédibilité et le degré de sa valeur scientifique, on sait qu’il ne pourrait être coupable pour quelques jours d’instrumentalisation dictatoriale où n’importe qui aurait tombé. Lihidheb Mohsen 26.10.18

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