
lundi 23 décembre 2019
L'élan citoyen de Zarzis

vendredi 20 décembre 2019
Au pays des records.
mardi 17 décembre 2019
Cri d'alerte à l'éducation
mardi 10 décembre 2019
Djerba Zarzis, prix Nobel de la paix.


jeudi 21 novembre 2019
Journée de l'enfant de Zarzis et du monde.
samedi 2 novembre 2019
Portraits et sagesse 150

lundi 14 octobre 2019
No hate J. London
lundi 23 septembre 2019
Climat et pollution entre Djerba et Zarzis.

jeudi 29 août 2019
Bénévolat et bonheur
Ce matin, j’hésitais sur la direction à prendre, aller au café, réajuster mes installations au musée écologique mémoire de la mer et de l’homme, surfer sur les quelques minutes de connexion possible sur le net, aller à la mer pour la collecte des déchets, aller au marché, lire un livre…mais quand ma fille m’avait dit que les bourgeoises comptaient aller à la mer cet après-midi et auraient besoin de ma tire, j’ai décidé de faire le plus urgent la matinée même. Après avoir tailler mon palmier, un arbre odorant et encombrant le soir, vider quelques bouteilles remplies d’eau depuis une dizaine d’année dans un geste de survie ultime, j’ai rempli deux grands sacs de bouteilles en verre pour les fourguer à un magasin approprié à une quinzaine de km. C’était la deuxième fois que je livre à un prix dérisoire, qui ne couvrirait même pas les frais de carburant. Deux cents bouteilles ramassées sur une quinzaine d’années pour trente dinars, incroyable et c’était le prix qu’avait imposé le patron intransigeant. Même si le prix était dérisoire et la somme allait de toutes les façons à l’association des handicapés moteur de Zarzis, il n’y avait pas d’autres fournisseurs pour avoir un meilleur prix. Dans les années deux mille, j’avais bien vendu mille cinq cents bouteilles à beaucoup moins que ça, mais c’était pour des gens très pauvres opérant à la déchetterie municipale.
Aussitôt fait, je suis reparti vers le nord vers l’école des handicapés et pris un auto stoppeur qui allait en ville qui accepta malgré le fait que je l’avais prévenu que ma direction est autre. En palabrant en cour de route de tout et de rien et à ma surprise et la sienne, j’avais découvert, qu’il était très cérébral, affranchi et libre penseur, au point de l’entendre dire à la fin, qu’il était très heureux de m’avoir connu et que j’étais un rayon de soleil libérateur dans sa vie de solitude intellectuelle et de claustration par la médiocrité en vigueur. On avait juste parler de la beauté de Dieu et la nécessité de faire du bien sans conditions en aimant les autres, tous les autres. Pour cela et pour confirmer ma satisfaction aussi, je l’ai amené vers sa propre destination et fait un long détour vers la mienne.
A l’école des handicapés moteur, il n’y avait que deux fonctionnaires, à cause des vacances scolaires, qui m’avait reconnu, car elles connaissaient comment les enfants allaient dans leur bus récolter une grande quantité de plastique chaque fois chez moi. Il m’arrivait aussi de leur donné de l’argent disponible quand il y en avait. Elles étaient contentes de ma visite et des quelques sous que j’apportais, tout en me promettant d’envoyer l’équipe des jeunes braves pour le levé des bouteilles en plastique déjà disponibles en grande quantité dans mon jardin.
Ainsi, comme plusieurs eurent satisfaction et bonheur, Boughmiga le néandertalien, en a eu aussi chaud au cœur, avec un léger sourire, pour un monde meilleur.
Lihidheb Mohsen 29.08.19
mercredi 28 août 2019
Les Maltaises de Zarzis
mardi 20 août 2019
Bazar du sud, Zarzis
dimanche 18 août 2019
Portraits et sagesse 149
jeudi 15 août 2019
Festival des flamands roses Hassi Jerbi Zarzis.
mardi 13 août 2019
Portraits et sagesse 148
Comme on ne peut jamais se rappeler de tout le monde et rendre à chacun justice, ce qu’il mérite, le faire sortir de l’occultation, de l’effacement social ou l’oubli tout simplement, cette fois c’est une honorable Dame, grande, belle, paysanne, que je laisserai anonyme, malgré que plusieurs de la région sauront la reconnaître et confirmeraient sa sagesse. On m’a dit qu’elle est encore debout, en forme et promène les moutons de temps en temps pas loin de sa maison de compagne et j’ai prié de lui adresser ma reconnaissance et mes compliments.
C’était dans les années soixante dix du dernier siècle, avec une condition maladive de longue durée, chétif, faible, fragile, toussotant, chômeur, sans le sou…qu’elle m’avait engagé quand même pour une petit travail afin d’assister un maçon. Le travail aussi simple et facile, était dur pour moi, surtout pour une période de jeûne du Ramadan et à neuf heures et demi, elle constata que j’étais en difficulté et alla me cuir un œuf dur devant le regard interrogateur du maçon hébété. D’une pitié et d’un humanisme qui dépassait touts les bornes de l’envisageable, elle me donna aussi l’équivalent d’une journée de travail malgré que je n’avais rien fait. Une attitude presque supra humaine, qui resta dans mon esprit, comme un petit rêve agréable ou un nuage passager donnant de l’ombre dans la canicule.
Depuis, je n’ai jamais essayé de la contacté, en évitant à ma gratitude et ma reconnaissance, le terre à terre rétrogradant et ordinaire. Toutefois, il y a une semaine, après presque quarante cinq ans, j’avais demandé à une personne qui la rencontrait au petit pâturage, de lui parvenir mon respect.
Lihidheb Mohsen 13.08.19
jeudi 8 août 2019
Dali, comme Djerba.

mardi 6 août 2019
Scarabée de Kafka et figue de Boughmiga.
samedi 3 août 2019
Livres ouverts sur la mer de Zarzis...
jeudi 1 août 2019
Tourisme alternatif...
mardi 7 mai 2019
Boughmiga président...!!! non.

samedi 20 avril 2019
Les chagrins de l'espoir.
dimanche 24 mars 2019
Journées Béchir Nebheni.
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