mardi 24 janvier 2017
Patrimoine de Zarzis
Enfin, une nouvelle équipe pour l’association, des jeunes, motivés, déterminés, lucides et intellectuels, prennent la gestion de ce domaine délicat, pour la sauvegarde des richesses patrimoniales de la région. En Effet, Si Lassaad Syayha, Si Youssef Lassouad, Si Sadok Hafiane, Si Mohamed Ali Zridett….auraient certainement du travail à faire et des initiatives à prendre. Toutefois, le paysage historique a été bien établi et évalué par les équipes précédentes dont Si Mohamed Zair, Said Chelbi, Mohamed Dhaoui, Mohamed Abichou (Jilani), Dhaou Frea, Salem Labiadh, Ali Drine, Mohamed Jalouali, Mohamed Triki, Abdelghaffar Dchicha, Ahmed Labiadh, Amor Jbeli, Hassen Msallem, Mokhtar Labiadh, Abdesslem Khouildi, Abdessami Jaziri, Slah Mzalouat, Nouredine Mnaffakh, Lihidheb Mohsen, Rachida Gdaiem, Ahmed Ouercheffani, Hédi Charrad, Mohamed Zran, Haj Amor Mtimet, Salem Frea, Noureddine Sraieb, Abdelmajid Dhouib, Abdelkrim Kaouach, Hassen El Ghoul, Tahar Zran, Mounir Abichou, Abdelmajid Oueriemmi, Mohamed Brik, Mohamed Khnechil…qui chacun de sa part, avaient participé la valorisation du patrimoine local et des valeurs de la tradition dans la région.
Cette nouvelle équipe, serait appelé à concrétiser certaines préoccupations voir, la sauvegarde du patrimoine, la concertation et la vulgarisation du patrimoine patrimoine, la restauration de Henchir El Kalakh et le Borj d’El Bibane, l’homologation des sites et stations du primitif et du romain, la reconstruction de Bordj El Hissar de Zarzis ville et des cinq ksars du littoral uniques au monde, la collecte des traditions orales et culinaires, ainsi que les techniques de pêche et de culture de la terre et de l’olivier, la création d’un musée agricole comprenant toutes les machines de l’exploitation ainsi que les tracteurs anciens, les moissonneuses batteuses, les véhicules, les charrues… Un semblant de programme assez difficile à réaliser à cause du rythme assez moyens des motivations et de l’engagement social, mais une série de programmes et étapes, pourraient prendre certains sujets réalisables et reprendre d’autres à terme. Malgré que deux sujets peuvent être considérés primordiaux et urgents, la reconstruction du ksar et du Bordj ainsi que le musée agricole, il serait toujours possible d’aborder touts les sujets en même temps tout en donnant à chaque critère sa chronologie de réalisation.
On ne serait pas étonné de l’élan de ces jeunes, de l’ère moderne, de l’après révolution, de la liberté de décision et le libre arbitre, sans l’hégémonie de l’état ni le scepticisme des sponsors potentiels, pour exceller dans cette tache commune et la remise en place ce qui avait été détruit par des tendances irresponsables. Bien sur, ce qui avait été détruit suite à l’initiative de la mairie, devrait être reconstruit avec l’aide de cette dernière. Cette reconstruction est beaucoup plus importante que le projet du nouveau local, que les élus, jusqu’à maintenant ne méritent pas. Depuis l'indépendance, la gesion de la municipalté était presque toujours mécanique, sans ambition, sans perspectives et sans projets, en dehors de la gestion de tout le jour qu'un aide comptable pourrait faire seul. Il va falloir rendre à césar ce qui appartient à césar, pour le valoir. Il y a des priorités comme il devrait y avoir du bon sens.
Lihidheb Mohsen 22.01.17
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en fin une bonne initiative j’espère que se groupe si variable réparera se que les anciens ont détruit
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