mardi 6 décembre 2016
Les oléo facteurs, en boite.
Emboitant le pas à une société des agriculteurs et certains partenaires d’outre mer, pour mettre en boite, l’huile d’olive adéquate, de qualité et répondant à la compétitivité des marchés mondiaux…plusieurs, agriculteurs, agronomes, bonhommes, figures associatives, un ou deux officiels, le délégué, le commissaire ou son représentant, des correspondantes de presse, quelques jeunes filles…ont débattus du passage de l’agriculture vers l’agro-industriel, un sujet qui aurait dû se faire dés l’indépendance. Une proposition qui malgré le fait qu’elle vient après cinquante ans, reste valable et dans la naturel des choses. Une initiative assistée, qui n’est pas moins importante que la nécessité de tailler les oliviers afin d’un rajeunissement général de l’oliveraie vieux de cent cinquante ans au moins. Plusieurs intervenants avaient insisté sur le fait d’inviter les jeunes à s’occuper de l’agriculture. La formation des tailleurs des arbres, l’interdiction des bâtons pour la cueillette, la presse automatique de la récolte tout suite dans les huileries, le rôle tampon et régulateur de l’office de l’huile, la qualité bio incontestable de ce produit local…étaient des préoccupations majeures de nos illustres fellahs. De toutes les façons, il n’est jamais trop tard.
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