mercredi 9 novembre 2016

Anthropo topo patati patata.

Voilà donc, en profileur ordinaire de quartier, je fais une aventure par la lecture des portraits, des malins et des distraits, tout en citant les gens, de caractéres ou intélligents, sans prévaloir une idée, un comportement ou une attitude, à la recherche d'une sagesse commune à toutes les sociétés. Oui en effet, sur une bonne période, dans une région bien déterminée, des hauts, des bas, des bravoures, des opportunités, des tendances, des circonstances, des réactions de la conscience collective, des gestions de la situation à la dérive, des concours d'événements malencontreux, des créneaux sociétals préétablis naturellement...pour arriver, enfin, que nul n'est mauvais, nul n'est bon, tout le monde l'est à la fois, pour trouver, un profiteur mais bon, un grand mais malin, un militant mais collabo, un instit mais conformiste, un proprio mais égocentique, un richissime mais cupide, un notable mais tribal, un politique mais nombriliste, un homme d'affaires mais éffacé, un imam mais féodal, un génie mais introspectif, un intello mais insouciant, un leader mais claniste...juste pour dire qu'il n'est pas facile d'évaluer les gens définitement, car ils sont dans un éternel mouvement et un changement permanent d'attitude, en fonction des happenings et de l'humeur générale ou ce qui est voulu par le moment humain. On ne peut donc dire qu'un tel est bon l'autre moins bon...et ce sont généralement, des gestes, que certains n'ont pas pu faire, n'ont pas voulu faire, ou n'ont pas été poussé à les faire. On peut le voir actuellement dans les grands rôles politiques, quand une idée murisse, un leader est recommandé pour guider les masses, une personne au profil bien déterminé est nécessaire et filtrer par des éléctions folklotiques...à condition de laisser la roue tourner, de faire les éternels compromis de la société et les impératifs du dictat du moment. En comparaison avec les autres régions, on peut affirmer que la diversité culturelle et les différents apports et contacts avec les autres peuples et les autres idées, avaient forgé une mentalité soft et une convivialité humaine certaine, sans se départir de ses racines et ses spécificités sociales. Une afféctation, qui parait nettement dans le comportemental individuel et collectif et réussir à chaque épreuve à prouver une grande sagesse et une grande lucidité. Dans un monde en ébulition, où le drame est quotidien, quelques fois sans justifications, malgré que la violence ne peut être justifier, on peut contater la perrenité de la guerre, sur toutes les périodes et qui avait été quelques fois et paradoxalement, des catalyseurs d'innovation et de developpement. Un équivoque, qui n'a plus de raison d'être, à moins d'instrumentaliser la chair humaine et manipuler sa foi et ses croyances. Un état de fait, qui pourrait être déconstruit, par cette micro société assimilatrice de touts les apports des conquérants, des voyageurs, des prédicateurs, des razzias et des moralisateurs...pour mettre en place une société d'équité et d'humanité. On ne sait que trop bien la futilité des idées de la mentalité guerriére et comment le respect mutuel entre les croyances fut balayé par les tribunaux de l'inquisition et comment des pays comme l'Irak, la Lybie, la Syrie, le Yemen, le Soudan...dans lesquels les gens vivotaient bon gré mal gré, furent détruits pour laisser place au chaos et la déchéance. Qui a tort et qui a raison, pendant que le monde se noie dans la violence et la pollution, sans perspectives d'avenir meilleures ni promesses de bonheur. Une situation, qui incite, maleureusement, certaines personnes à plonger dans la foi et l'autarcie des idées violentes, ce qui malheureusement, sert certains néo conquistadors et les hégémonies modernes. Encore une fois, la région du sud Tunisien ou la plaine du Djeffara, malgré et peut être à cause des tumultes entre les tributs, reste un bon exemple humain de réussite et d'assimilation des valeurs universelles et comment les faire revivre dans la dynamique de touts les jours, pour la paix pour toujours.

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