samedi 10 septembre 2016

Portraits et sagesse 46

Mohamed Kbaier Il faut nécessairement passer par l'hopital de Zarzis pour avoir la chance de connaitre Si Mohamed Kbaier, un infirmier pas comme les autres, malgré la satisfaction générale de l'ensemble du corps médical d'autrefois. C'était la trentaine d'années d'aprés l'indépendance, qui permettait le bon travail, l'abnégation et l'éfficacité dans les taches. Une période que plusieurs avaient bien remplis, comme les fonctionnaires à Médenine, les infirmiers à Tataouine et Médenine, les postiers à Djerba, les instituteurs dans tout le pays...dans une forme partage du savoir et remplissage du savoir faire dans les poches de services défaillants. Depuis que l'hopital était à la Garaa, Si Mohamed, sans le vouloir, faisait un travail incomparable, un suivi direct de ses taches et une humanité compléte et naturelle. Un infirmier, qui ne faisait rien pour être amical avec les patients et présent jusque tard dans la nuit. Une sagesse et une humilité, permanente, même dans sa vie privé et dans son village, ou en paralléle avec sa dévotion, il assistait touts les malades et faisait des injections gratuites aux gens qui en avaient besoin. Même en retraite, il ne cessa pas de visiter les proches à chaque occasion et continua son accompagnemt médical avec tout le monde. C'était le genre de personne, qui travaille en silence, passe inappercue, mais dont la présence était totale et éfficace quand on avait besoin d'elle. Respect et reconnaissance à Si Mohamed Kbaier, Que Dieu le bénisse .

1 commentaire:

  1. Monsieur Mohamed, m'avait remercier pour l'article et me reconta ce qui suit : Je sort maintenant de la priére du soir et j'ai fait des souhaits à une pesonne qui lors de mes démarches pour le pélérinage dans le bourse de travail à Tunis, m'avait beaucoup assisté et me raccompagna dans sa voiture, avec sa vieille maman, vers la station du bus à Beb Alioua alors qu'il pleuvait abondament. Malgré la circulation et les intémpéries, il ne me lacha que quand j'étais au guichet avec mes valises et en sécurité. Je reconnais que je lui suis reconnaissant et que Dieu le comble de ses bienfaits.

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