mercredi 28 septembre 2016

Portraits et sagesse 75

Foulen El Foulani Ainsi, cette fois, à vagabonder, à errer, sur le profil de certaines personnalités, vraissemblablement oubliés, rétirés de l'histoire, rayés de la mémoire, déposés dans les oubliettes maladives de certaines entités toujours sur le poste de pilotage. Ainsi, donc, Si Foulen El Fouli, le petit homme de la rue, l'homme à tout faire inconnu, le derviche crédule, stoique, humble, pacifique, insignifiant, distrait, impressionnable, gérable, instrumenté, manipulé...lui, comme le racontait bien le supérbe orateur Si Mansour Ben Drara qui portait toujours et porte encore dans son coeur, la mémoire de nos déboires, le parcours de nos carriéres, les bienfaits qu'on aurait fait, les plus qu'on aurait fait pour l'autre, qui que ce soit, les actions sur des situations statiques et morbides, les créations de richesses, les sagesses quand tout le monde devient fou, les possiblités d'enmplois, les extravagances collectives de la gauche et de la droite lors de la révolution du peuple quand le peuple même resta lucide et extra....Ainsi, Si Foulen El foulani, qui prit des puniques, des romains, des arabes, des andaloux, des ottomans, des gaullois, des cultures universelles, pour rester lui même, fidéle à son identité et perméable aux cumuls nécessaires à sa sagesse vivante. Donc, pour ne point véxer certains, leurs relatifs ou leurs prochains, qu'il n y avait pas d'oubli pour les gens qui avait donné aux autres, d'avoir forcé l'histoire, d'avoir coloré la vie des gens, d'avoir participer dans les associations, d'avoir risqué leur vie, d'avoir risqué leurs biens, d'avoir agi audelà de son travil pour lequel on était payé et s'attaquérent aux difficultés de la société et ses problémes...et puisque Boughmiga avait eu la chance de coroiser certains des grands, visita ceux qui avaient des préoccupations sociales, s'intérressa à ceux dont il avait entendu, alla aupprés des importans à la fin de leurs vies...il lui manque toujours des photos personnelles et surtout des informations dans une ligne arbitraire fixée sur le sociétal et l'humain comme il est décrit ici sur certaines grandes personnalités. Une situation, qui appéle ceux qui ne se référent pas ou peu ou ont un attachement au pédigree familial ou tribal trancendantal...qu'ils s'attélent, s'ils le veulent bien, à combler le manque, s'il y en aurait, et déscendre dans l'aréne sociale et faire du bien, Ô combien on en a besoin, de la part des détenteurs de capitaux, des propriétaires fonciers, des intellos partout, des porteurs d'idées, des aristos, des promoteurs médicos...Pour que Si Foulen El Foulen, ce petit homme de la rue, que l'on rencontrerait guidant sa bicyclette trouée, le chapeau de paille usé, avec un pain ficelé au porte bagage chancelant, sur la route de Dar Derbi...qui porte heureusment et le portera toujours, la sagesse commune et les bienfaits des uns et des autres, loin audessus, des lectures politicardes, conjoncturelles ou partisanes. Cette fois encore, la démocratisation du savoir par le net et la disponiblité de la connaissance, aux gens communs, est désormais, une chance miraculeuse, qui permet à chacun de voir, comprendre et évaluer les choses de la vie et les prouesses de certains, au damn du bluff et des partis voulant diriger l'histoire, des familles lisant à leurs façons et de la médiocrité permanente. En avant toute.... Ici avec le texte, une photo d'homme authentique du sud proposée par Lihidheb et réalisée par le grand artiste de céramiste Hédi Smaali au hall de la poste Zarzis.

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