mercredi 8 mars 2023

Si mes ancêtres savaient !!!

 

                 







  Depuis une vingtaine d'années, Boughmiga le néandertalien, s'intéresse aux traces lithiques des anciens, au point de connaitre au moins trois cents endroits épars dans le sud Tunisien et surtout sur le littoral à Zarzis. Comme il le faisait pour la sensibilisation à l'écologie, les configurations composées des rejets de la mer et des hommes, étaient aussi reprise pour le silex, les œufs d'autruche et les bifaces. Cette fois, c'était pour redonner de la vie aux objets que nos ancêtres avaient utilisé pour leur survie. Ainsi, chaque fois que Boughmiga en trouvait dans ses grandes sorties de maraudeurs, il les embrassait avec passion parce qu'ils sont pour lui, une sorte de poignée de main, de communication et de clin d'œil à travers l'histoire. Si mes ancêtres savaient qu'après trente mille ans, leurs objets seraient retrouvés, respectés, assemblés artistiquement puis distribués sur le net et les réseaux sociaux dans le monde. 

dimanche 5 mars 2023

Un lest et un flotteur...à travers l'histoire

 

                   


                   

Comme vous pouvez le constater, cher concitoyen...Boughmiga comme toujours, ne néglige rien, écologie, art, patrimoine, humanité, poésie, activisme...comme pour suivre la vie dans ses moindres détails. Ici, il lui a été permis de trouver des objets sur le littoral de Zarzis et de comparer entre un lest en poterie utilisé par nos ancêtres primitifs pour arrimer les filets au fond de la mer , qui paradoxalement ressemble à un flotteur d'aujourd'hui, utilisé dans les filets de pêche. Encore un témoignage de l'ingéniosité des anciens. Ainsi, la poterie atait utilisé avant la découverte de l'usage du plomb. 

jeudi 2 mars 2023

Les strates humaines

 

                    Ainsi, les configurations artistiques de l'action mémoire de la mer et de l'homme, dans son espace fixiste des idées et mémoires, ont bordé plusieurs  thèmes de configurations, d'assemblages et de constructions artistiques. commençant par la simulation d'un incendie géant dans l'Amazonie qui toucherait certainement les Etats Unis, enclins à refuser les conventions écologiques, puis l'arbre du Ténéré en plein milieu du désert du Niger qui témoigne de la désolation de la vie et la ruée vers le nord, puis les centaines de chaussures de migrants portant leur mémoire assemblés avec des livres portant aussi la mémoire de l'homme bien pensant sous forme d'une fusion et cristallisation pour un moment de la vie humaine. Puis l'installation de plants de pastèques autours des chaussures de migrants, pour faire une compassion avec l'organique dans le sens d'une chanson très anciennes et populaire. Puis voilà la dernière, sous forme d'un grand globe terrestre constitué par des bouées provenant de la mer, dont la première couche du fond était constituée par des boules noirs, tant les hommes primitifs étaient exclusivement noirs, la deuxième couche en jaune puisque l'homme blanc avait asservit les autres dans la soumission et l'apartheid et puis la dernière couche juste au dessus du monticule, était composé de boules de toutes les couleurs simulant désormais, l'ère de la diversité des races, le melting-pot et l'universalité. Bien sur, le fond de l'approche reste toujours écologique, pour bifurquer vers l'écologie humaine et suivre en dénonciateur, le drame de la migration clandestine dans le monde.  Lihidheb Mohsen 03.03.2023