Toujours en mouvement, l'action mémoire de la mer et de l'homme, parvient à joindre les mémoires des hommes, celles de la mer et celles du désert. Préoccupée, comme il se doit par le drame de la migration clandestine et cria trés fort sa colère contre cette iniquité contre les pauvres du monde, elle fait aussi des configuration artistiques géantes, afin de sensibiliser au respect de l'homme et la nature. Cette-fois, à partir de bouées provenant des plages de Zarzis, une simulation avait été réalisé au sujet d'une formation de pierres circulaires faite au milieu du Sahara par l'homme primitif. Tout en suivant les lignes méticuleusement, Boughmiga ajouta un additif en couleur jaune pour découvrir que ça donnait aussi la forme d'un Tanit, l'une des idolâtries de la région pendant l'histoire. Comme l'avait dit des élèves Italiens dans leur lettre à l'action de Boughmiga en 2002, elle a effectivement concrétisé une poignée de main chaleureuse, entre le souffle la mer et le sirocco du désert.
