Entre le ciel et la mer, des oliviers et des palmiers,
Ombragent une Île prospère, sous son
climat particulier.
Elle interpella les sages et subit
les pirates de passage,
Tout en retenant les vertus, des
conquistadors et combattus.
Dans les centaines de mosquées,
partout sur l’Île disséminées,
Il y avait les besoins de survivance,
de gestion et de surveillance,
Pour assurer aux habitants cernés, les
moyens de perdurer.
Comme elle était toujours ouverte, aux
divers négociants,
Assurant des liaisons, dans le bassin méditerranéen,
Pour faire de la laine et l’indigo, un
produit fini pour les grands,
Ainsi que par la poterie, des
ustensiles de transport performant,
Et le monde est petit, et le monde est grand, avec Ulysse avec Didon.
Il y avait aussi le cumul de sagesse,
de savoir et de savoir-faire,
Qui garda les langues, celles qui
furent et celles qui viennent,
Pour faire de l Arabe, un
véritable tremplin,
Pour accéder à la civilisation au niveau des nations.
Et voilà, des monts de l’Aurès, qu’arriva la francophonie,
Pour s’intégrer en deuxième langue,
dans l’oral et dans l’écrit.
Sans francophobie quelconque, ni
francomanie complaisante,
Elle apporta la culture des lumières,
jusqu’à nos esprits ouverts,
Et nous familiarisa pour de bon, aux
impératifs du présent.
Qui ne serait pas redevable, aux
écrits, poèmes et fables ?
De Racine, de Molière et Diderot, de
Descartes, Voltaire et Rousseau.
Tout un nuage de culture envoutant,
qui nous transporta dans le temps,
Pour voir le monde d’en haut, en
chevauchant les idéaux.
Comme l’Arabe est magnifique, le Français,
ne l’est pas moins,
Qu’il faut joindre avec entrain, dans
les outils de notre destin.
Lihidheb Mohsen écologue artiste
04.09.2021
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