Nul ne peut imaginer ce que va être dit, dans cet écrit, et lors de cet évènement, long, sur plusieurs années, quand une Autrichienne, intellectuelle et écrivaine, vint à plusieurs reprises, à Zarzis et Djerba, et accompagna à plusieurs reprises Boughmiga, dans ses sorties vers la mer et souvent vers le désert. Elle vient de lui
envoyer un mail puis deux livres par la poste, qu'elle avait publié dernièrement. Dans "Djerba la douce", Boughmiga avait accompagné le conte réel, ainsi que le fond spirituel de "Rommel, Stille" soit Rommel, Silence". En plus de ces écrits, fruits de cette amitié fraternelle entre une nordique et homme du désert, Boughmiga avait aussi écrits quelques textes littéraires au sujet d'un assemblage étrange, entre deux personnes aux références humanistes écologiques, activistes d'un coté et littéraire, historiciste du médiéval de Malte, ecclésiastique...de l'autre, assis dans un café de Hara Sghira, et parlant de l'histoire universelle dans la langue de Goethe et de Nietzsche. Des extrêmes en mouvement, dans les esprits d'individus, mures et réfléchis sur la cause commune.
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