A la trace des empreintes humaines, dans la mer, dans le désert ou sur les plaines, Boughmiga le néandertalien dans son action éco amicale, continu sa cavale, en faisant des assemblages, configurations et collages, à travers d’objets provenant de la mer ou d’autres de migrants en galère, afin de sensibiliser les preneurs de décisions, à trouver une solution, à ce drame toujours persistant. L’image est bien claire, du parcours de nos frères, partant du cœur de l’Afrique, de ville en village, à travers les plages du désert, pour faire le Ténéré et son arbre légendaire, pour parvenir difficilement à coté de la mer et de Tripoli, Zouari ou Zarzis, grâce aux passeurs et complices, jusqu’au milieu des eaux à Lampedusa, encore une étape, d’étape en étape, jusqu’au pole des lumières, à l’imago des chimères, mais comme même, il y aurait de quoi manger, un refuge et de la santé. Bien sûr, sans faire l’apologie à une triste aventure, qui perdure, il serait plus juste et serein, de donner à cette ruée vers le nord, des visas et des passeports, pour rester dans la légalité, d’un droit convenu de liberté. Le monde appartient à tout le monde, la terre et l’existence aussi, la justice recouvrera ses acquis pour un Homo Sapiens Sapiens réfléchis…
Lihidheb Mohsen éco artiste Zarzis 23.01.2022
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